Objet audio-visuel rudimentaire mais bien confit, né de la rencontre improbable entre une étoile filante, un fromage à pâte molle, un ornithorynque – et autres espèces animales perchées ou non.
A voir sur youtube.
© épaisseur sans consistance
Quatre parapluies ?
Épaisseur sans consistance 
C’est superbe !
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Merci, les faits plumes !
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Ah, mais où donc étais-tu passée ??? Tout va bien ? Bravo pour ta performance « vidéotesque » !
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Merci Dominique !
Oh, je n’étais pas bien loin. Simplement, je prends des cours de théâtre au Conservatoire depuis septembre dernier, avec un emploi du temps très chargé. Donc, impossible de prendre en charge wordpress !
Cela dit, même si nous ne sommes plus sur les planches depuis le confinement, nous sommes très occupés par un nombre incalculable de travaux de toute sorte à rendre à nos profs (comme ce diaporama, par exemple).
A bientôt !
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Fameux 😉 alors, bonne continuation
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Hé hé, merci Patchcath.
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oh, merci !
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Merci à vous, cher Carnets !
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Ca alors, c’est très chouette !
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Merci Frog.
La voix de Léonie laisse un peu à désirer, tout de même…
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J’adore ! Quelle palette de talents vous avez.
Ca fait plaisir de voir que Madeleine et Léonie ne se crêpent pas le chignon en confinement et qu’elles ont toujours des sujets de conversation.
L’histoire est très jolie et très joliment dite. Le ciel comme un parapluie troué qui tamise la splendeur du ciel à nos yeux éblouis, j’aime l’idée.
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Oh, merci Joséphine.
On trouve tellement de choses intéressantes dans les Carnets paresseux. J’ai eu beaucoup de mal à choisir un texte et puis, Les quatre parapluies se sont imposés.
🙂
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