Sous l’eau
dans l’air
sur l’onde onésimique
Une crevette drolatour épreuve et doute
Jumeleine ou madeleine
Rêve d’un rendez-vous créaginaire
Avec un palais buccal iodé
Celui de la mer arctique le goût du sel
Celui de la mère paradoxalement mergnifique
Souffle la polimacie des ėcriames
Artificelles habitudes
Douze coups de midi
En Insolitude
Marée haute sur la peau
Une brioche fatalimace
Des mots d’amour
Comme ça
Au creux de l’oreille de la crevette
Complexité de la pinguouination
Plus tard dans le Jura
A l’heure des délibules mirifiques
Zébulon l’enfant le mioche
Sans bottes sans odeur sang chaud
Désordre
La croûte forestière à l’ondelette incroyable
Honteux et confus
Un compagnon de route
Mi-ondois mi-patchcathois
Virgule le temps
Pour les mots de la faim
Ma participation (à prendre ou à laisser)
à l’Agenda ironique de décembre 2018 organisé par Patchcath
Inspiré par… le style d’un poète dont je vous parlerai plus tard (patience) qui, lui-même, a trouvé son inspiration dans un poème de Ghérasim Luca, Prendre corps, mis en musique et interprété par Arthur H (en ai-je trop dit ?!).
Je ne sais pas de quel poète il s’agit (et, paresseux, je ne cherche pas), mais miam ! j’adore cette participation, et je prends sans rien laisser !
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Hé hé !
J’ai découvert ce poète il y a peu et j’en suis folle ! Il a très peu publié et… Chut !
😉
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« Prendre corps » et bien encré (bien qu’on écrive plus à l’encre) J’aime ton poème, il me touche. Beaucoup, parce que le Jura c’est un peu de moi 😉
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le fou chantant
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