« Les rasoirs font mal
Les rivières sont humides
Les acides laissent des marques
Et les drogues donnent des crampes.
Les armes, c’est interdit
Les cordes peuvent se lâcher
Le gaz sent vraiment mauvais
Autant continuer à vivre. »
Dorothy Parker, Hymnes à la haine, Phébus, 2002

Un peu tristounet, cet article mais il est comme le temps.
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Meuh non, il n’est pas tristounet, ce poème !
J’aime bien l’humour noir !
🙂
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C’est ce que je disais ce matin à mon cheval. Dans la crasse ignorance où nous nous trouvons de nous-mêmes, a-t-on un meilleur choix que de faire comme si ? (Ces mystères nous dépassant, feignons d’en être les auteurs. (Les mariés de la Tour Eiffel, de Jean Cocteau).
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Ah, je vois que vous avez des conversations fort intéressantes avec votre cheval.
Merci pour la citation de Cocteau que je ne connaissais point.
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Oui, il est plutôt très positif ce poème !
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