A Londres, un jeune homme arrive, plié en deux, au service des urgences de University College Milk Tea Hospital, pour ce qui ressemble à un désordre viscéral. Il ne maîtrise pas très bien la langue de Shakespeare. Rapidement pris en charge, il répond tant bien que mal à l’interrogatoire d’usage… jusqu’à ce que le médecin lui demande : « How do you feel ? ».

Note. Avec l’aimable autorisation de l’artiste qui affirme sur son site :
« Pourquoi signerai-je mes œuvres ? En elles se trouve déjà ma propre signature. »
Une visite sur son site, vaste comme le monde, s’impose. https://www.imaginisation.com/
© épaisseur sans consistance, Août 2017

… A dire vrai, je n’ai pas compris…
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… à vrai dire, ici, et pour une fois, tout est à prendre au premier degré.
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… Réponse meurtrière : le premier degré, dans ce cas, est encore bien trop haut pour moi !
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Ah. J’hésite entre deux réponses :
– Réponse désarmante : Mais Aldor, je ne sais pas dessiner. C’est pourquoi j’ai fait appel à un illustrateur.
– Réponse agonisante : Je ne sais pas quoi vous…
(Sachez que mon compagnon me dit souvent : « Je te l’avais bien dit [hi hi – sauf que lui, c’est un farceur donc à prendre au deuxième degré !]. Tes articles sont incompréhensibles ! »).
Bonne journée.
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Je prends la troisième, alors.
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